La stratégie du tout vaccin, les traitements négligés, un pass pour la liberté ou en route vers l’Armageddon ?

Que savons nous vraiment sur ces vaccins, sommes nous si sûr que la vaccination est efficace, sans danger et ne va pas en fait empirer les choses par effet ADE (anticorps facilitateurs) ou en favorisant de nouveaux variants résistants par échappement immunitaire (ce qui est prédit par de nombreux experts, car l’immunité vaccinale est pointue et homogène, à l’inverse de l’immunité naturelle) ou de nouveaux virus recombinants… ce qui est possible pour les coronavirus et les vaccins utilisés. En 2017 le vaccin contre la dingue a dû être retiré après 6 mois d’utilisation en raison des effets ADE… Aux Sechelles, pays le plus vacciné au monde, malgré la vaccination massive de plus de 70% de la population, on reconfine (Coronavirus : les cas en hausse aux Seychelles, pays le plus vacciné au monde ), en Inde, il semblerait que l’état où contaminations et décès connaissent une progression fulgurante (il s’agit de l’état du Maharashtra) est paradoxalement celui qui a massivement vacciné ( à plus de 50%). Cet État qui représente seulement 8% de la population du pays compte à lui seul les deux tiers des cas enregistrés la semaine dernière (fin Avril). En fait, 4 des 5 pays les plus vaccinés au monde font maintenant face à une flambée des contaminations et de nombreuses réinfections de personnes vaccinées, même avec deux doses de vaccin, ont lieu un peu partout (« 1789 personnes, surtout en EHPAD positives au covid à Cologne. Petit détail: elles étaient vaccinées. 454 deux fois.Le chef du département de la santé: « Il n’est pas normal que vous soyez infecté malgré la vaccination. Ces chiffres m’inquiètent. »).

Sur les bases de données de pharmacovigilence du monde entier (européennes, américaines, UK…), on peut voir un nombre d’effets secondaires graves élevé et consistent de l’ordre d’environ 0.5% (c’est à dire plusieurs centaines de fois supérieur à ce que l’on peut s’attendre par exemple pour un vaccin contre la grippe classique) et environ 1 à 2 personnes sur 20 000 décèdent après vaccination (entre 4000 à 8000 morts en Europe pour ~160 000 000 doses de vaccins fin Avril sur le site Eudravigilence, il faut 2 doses pour être vacciné), sans lien établi, mais dans les heures ou jours qui suivent. Nous présentons, ici, de l’information scientifique objective et sourcée sur les risques connus et potentiels des vaccins du Covid. Dans une deuxième partie, nous abordons également les études scientifiques sur les traitements comme l’ivermectine.

Vous pouvez nous rejoindre sur nos groupes de discussion et partage d’information sur : https://www.facebook.com/groups/auxamescitoyennes ou sur Telegram https://t.me/auxamescitoyennes

Cet article a également été publié sur Réseau Internationnal en date du 30 avril 2021: https://reseauinternational.net/la-strategie-du-tout-vaccin-les-traitements-negliges-un-pass-pour-la-liberte-ou-en-route-vers-larmageddon/

Par: Aryan Afzalian, Ingénieur civil et Docteur en Sciences Appliquées.
Mis en ligne le 29 avril. Dernière mise à jour: 13 Mai 2021.

Un vaccin n’est jamais un produit neutre et il faut tenir compte du rapport bénéfice-risque. Hors, malgré la propagande actuelle en la faveur des nouveaux vaccins du Covid, il faut bien avouer que l’on en saurait bien peu, d’après les dires de certains experts pourtant de renom et d’habitude pro-vaccin.

Tout d’abord, et ceci est valable pour tous les vaccins actuels basés sur la protéine S: De plus en plus d’études montrent que la protéine de Spike utilisée dans les vaccins n’est pas inoffensive et pourrait bien être la cause de dommages endovasculaires (par ex. SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2) et des thromboses observées (Teen Hospitalized With Blood Clots in Brain After First Dose of Pfizer Vaccine, Letter to the FDA from Patrick Whelan, M.D., Ph.D., about the potential for vaccines designed to create immunity to the SARS-CoV-2 spike protein “to cause microvascular injury and blood clots throughout the body including  the brain, heart, liver and kidneys in ways that were not assessed in the safety trials.”). Les protéines de Spike (ainsi que les nanoparticules de lipides dans les vaccins ARNm) auraient la possibilité de traverser la barrière hémato-encéphalique et le potentiel de générer des prions et des maladies neurodégénératives sur le long terme dont le risque n’a pas été évalué.

Prenons maintenant le cas des vaccins à vecteur adénoviral, comme celui d’AstraZeneca et de JOHNSON&JOHNSON par exemple. Il s’agit de vaccins où un adénovirus génétiquement modifié, une chimère en terme technique, vous injecte de l’ADN directement dans le noyau de vos cellules. Encore plus intrusif que les vaccins à ARN? Le risque de génotoxicité, on en parle plus du coup (cfr. NOTE D’EXPERTISE GRAND PUBLIC SUR LES VACCINS AYANT RECOURS AUX TECHNOLOGIES OGM du Dr Christian VELOT Généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN)? On entend par contre beaucoup parler d’effets secondaires un peu partout dans la presse en ce moment (Norwegian experts say deadly blood clots were caused by the AstraZeneca covid vaccine, une note de synthèse détaillée sur les vaccins à vecteur adénoviral et leurs risques et mécanismes entre autre sur la lignée plaquettaire et la coagulation se trouve ici: VAXZEVRIA (ASTRAZENECA)™ ET COVID-19 JANSSEN (JOHNSON&JOHNSON)™ NOTE DE SYNTHÈSE AIMSIB / RÉINFOCOVID )…

Même les vaccins ARN pourraient avoir un risque de génotoxicité car, depuis 1970, on a découvert (les auteurs ont même reçu un Prix Nobel pour cette découverte) le mécanisme de rétrotranscription de l’ARN en ADN via par exemple des rétrovirus que vous pourriez avoir dans vos cellules. Certes, il faudrait encore que cette retrotranscription ait lieu et la probabilité est sans doute très faible, mais elle ne peut-être totalement exclue et n’a pas été évaluée (cfr. Note du Dr Vélot et point de vue partagé par exemple par le Pr. Perronne qui estime que les vaccins à ARN sont de la thérapie génique qui ne dit pas son nom : « Ce sont des méthodes qui nécessitent d’être encore étudiées car on n’a pas assez de recul ; on ne peut pas exclure des risques de modifications génétiques et de transmissions de ces modifications à nos enfants. »). Ne seriez-vous pas en droit de le savoir ? Des recherches récentes (publiée dans PNAS) par l’université de Harvard et le MIT viennent d’ailleurs d’élucider des mécanismes de rétrotranscriptions possibles ( par ex. human LINE-1 or HIV-1 reverse transcriptase, Research on SARS-CoV-2 RNA by scientists at Harvard and MIT has implications for how mRNA vaccines could permanently alter genomic DNA, according to Doug Corrigan, Ph.D., a biochemist-molecular biologist ). D’après Doug Corrigan, Docteur en biochimie et biologie moléculaire, ce mécanisme serait d’ailleurs beaucoup plus probable pour l’ARN synthétique du vaccin que dans le cas de l’ARN viral original. En effet, de par son mode d’opération et sa modification chimique pour le rendre plus stable, le temps de vie exact dans notre corps ne serait d’ailleurs pas bien connu, la période de temps durant laquelle l’ARN synthétique délivré par le vaccin pourrait être rétrotranscript serait beaucoup plus longue que pour l’ARN du virus. Les conséquences d’une telle rétrotranscription pourraient être désastreuses pour l’individu (par exemple une maladie auto-immune qui pourrait mettre des mois, voire des années à se développer (si par exemple une cellule souche est affectée), voire pour les générations à venir si une cellule germinale était touchée (Will an RNA Vaccine Permanently Alter My DNA), à la page 54 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech, il est d’ailleurs clairement noté que: Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau. Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution de ce vaccin). De nouveau tout ceci ne sont que des risques potentiels, qui devraient être étudiés avec soin sur plusieurs années…

La vaccination de masse avec ce type de vaccins OGM ( délivrant l’ARN ou l’ADN codant la protéine antigénique) pourrait devenir une fabrique à grande échelle de nouveaux virus recombinants potentiellement plus dangereux ( d’après le Dr Vélot, même si le risque individuel est très faible, le risque d’une nouvelle pandémie avec un nouveau virus ainsi généré aux conséquences potentiellement désastreuses est lui bien réel vu les milliards d’individus que l’on voudrait vacciner), il y aurait des risques de réactions en cascade pouvant par exemple engendrer des risques de maladies auto-immunes accrus (molecular mimicry) par rapport au vaccins plus classiques car plus intrusifs pour notre machinerie cellulaire et moins bien maitrisable (l’ADN va directement interagir dans l’ADN du noyau qui va à son tour produire de l’ARN et puis une protéine…, l’ARN lui n’interagit pas directement sur l’ADN -à moins d’un risque de rétrotranscription évoqué ci-dessus-, mais va apporter l’information ARN nécessaire pour que votre corps produise la protéine virale, le vaccin classique à virus inactivé ou atténué va lui directement apporter la protéine virale (le virus) dans votre corps. Nous vous renvoyons à la note du Dr. Vélot ci-dessus et aux nombreuses références qui s’y trouvent pour plus de détails). Le verrait-on dans le nombre de réactions élevé suivant la vaccination par exemple du système nerveux et lymphatique (par ex. les vaccins Pfizer et Moderna, utilisés contre le Covid-19, provoqueraient un gonflement des ganglions lymphatiques situés sous les aisselles et visibles sur les mammographies. L’étude clinique de Moderna indiquait par exemple que 11,6 % des patients avaient constaté de tels gonflements après la première dose, et 16 % après la seconde. Toutefois, rappelle le journal américain, ce taux pourrait être plus élevé en réalité, car ces chiffres ne portent que sur les cas déclarés par les patients ou les médecins, et non pas sur ceux détectés via une mammographie. Même si l’effet est généralement réversible en 1 à 2 semaines, on peut se demander quelle en est l’incidence à long terme?), nous ne disposerions en fait ni des données statistiques suffisantes, ni du recul nécessaire pour ces nouveaux vaccins qui n’ont jamais été déployés à grande échelles (ils ont été utilisés de façon expérimentale durant les 30 dernières années sur des très petits groupes, par exemple de cancéreux incurables où le rapport bénéfice-risque est tout autre, mais jamais à large échelle, ni commercialisés auparavant).

Il est d’ailleurs à noter que la loi Européenne sur les OGM a dû être modifiée pour permettre l’utilisation de ces vaccins (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/) et que, par exemple, deux médecins de premier plan, le Britannique Mike Yeadon (ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer) et l’Allemand Wolfgang Wodarg, ont lancé un appel à la suspension des études sur les vaccins SARS-CoV2. Nous rappelons également que ces vaccins sont autorisés avec une autorisation d’urgence provisoire, les essais cliniques ne se finissant que entre 2022 à 2024, ce qui n’est possible légalement que si aucun traitement n’existe, vu les risques supplémentaires encourus. Le Centre territorial d’Information indépendante et d’Avis pharmaceutiques (CTIAP), un centre régional indépendant d’évaluation des médicaments en France, a publié un rapport montrant qu’aucun des quatre vaccins contre le coronavirus actuellement administrés ne peut être garantis sûr ou efficace et que ces vaccins devraient en fait être retirés du marché parce que tous ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) avec des tests cliniques insuffisants et entre autre les variations de qualité de lots à lots et d’usines à usines ne semblent pas bien contrôlées. Si, par exemple, un traitement comme l’ivermectine, un antiparasitaire bien connu et peu coûteux dont nous vous parlerons ci-dessous, était reconnu efficace contre le Covid, ces vaccins ne pourraient plus être administrés jusqu’à l’obtention d’une autorisation définitive, après la fin des essais cliniques, si ces derniers étaient concluants.

Fig . 1 Daily and cumulative confirmed COVID-19 deaths per million people in various countries. (source https://ourworldindata.org/)

Dr. Simon ツ on Twitter: « Another graphic that was sent to me with respect to « cases ». The phenomenon definitely deserves some scientific attention of unbiased nature. https://t.co/0HVpFMdyLU » / Twitter. L’état ou contaminations et décès connaissent une progression fulgurante (il s’agit de l’état du Maharashtra ( Mumbay) est paradoxalement celui qui a massivement vacciné ( à plus de 50%). Cet État qui représente seulement 8% de la population du pays compte à lui seul les deux tiers des cas enregistrés la semaine dernière.https://reseauinternational.net/linde-et-le-nouveau-variant-un-seul-etat-connait-une-progression-fulgurante-des-cas-et-des-deces-devinez-sa-particularite/?fbclid=IwAR26F8MkeDz-xETA3VgsJWUbOp8Upvtf5yOXbH4M5I7Wo8rLHDmFtSfoWaw

Les vaccins contre les coronavirus pourraient aggraver la maladie par un renforcement dépendant des anticorps ou effet ADE (Antibody Dependent Enhancement), dû à des anticorps peu neutralisants, spécialement sur des infections ultérieures et des nouveaux variants. Cet effet ADE n’est spécifique que pour certains virus comme celui de la Dingue, Ebola, le HIV, RSV et justement la famille des coronavirus et un des mécanismes les plus probable pour le SARS est illustré dans la figure ci-dessous (Is a Coronavirus Vaccine a Ticking Time Bomb?). D’après l’article scientifique de Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint au Britisch Medical Journal (BMJ), les données scientifiques récemment mises à disposition par les laboratoires Pfizer et Moderna engendrent de nouvelles préoccupations concernant la fiabilité et la signification des résultats d’efficacité rapportés qui pourrait en fait être aussi basse que 19% dans le pire des cas (Peter Doshi: Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—we need more details and the raw data). Depuis la vaccination en Angleterre et en Israël (mais aussi à Gibraltar, Monaco (cfr. COVID-19: Vaccins ARN, Immunité, Traitement et Démocratie), au Chili, à Bahrain, en Inde … un article du Dr. Délépine détaillant et montrant les courbes de nombreux pays: Et surgit une hécatombe post vaccinale ) à court terme en tout cas, les résultats des campagnes de vaccination ne semblent pas démonter une grande efficacité. On verrait même un doublement, voire un triplement des nombres quotidiens des contaminations et des décès (et des taux de mortalité et de contaminations records depuis le début de la pandémie) durant les 2,5 à 3 mois qui suivent comme le montrent les courbes d’incidence et de mortalité publiées par l’OMS et de l’université John Hopkins (Fig . 1, ci-dessus), cela pourrait-il être lié à l’effet ADE avec toutes les conséquences que l’on pourrait imaginer? Dans des pays voisins qui n’ont pas ou peu vacciné, confiné ou pas comme en Suède, on ne voit pas cela et l’épidémie se termine finalement également faisant penser que la décroissance serait plutôt liée à l’évolution naturelle de l’épidémie. Il est difficile de conclure à ce point.

L’effet ADE pourrait se révéler avec le temps sur des épidémies subséquentes avec de nouveaux variants qui diminueront l’efficacité des anticorps vaccinaux. Contrairement aux anticorps naturels qui se développent sur l’entièreté du virus (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33369366/), les anticorps du vaccin sont produits seulement sur une petite partie, la protéine Spike, qui est fort sujette aux mutations et requiert donc moins de mutation au virus pour échapper aux anticorps vaccinaux. Il faut encore ajouter que des anticorps peu immunisants sont un facteur qui favorise l’apparition de nouveaux variants plus virulents et en cas d’effet d’ADE, vous seriez sans défense vaccinale ou naturelle contre le virus, votre seul salut dépendrait sans-doute d’une nouvelle vaccination ou d’un traitement qui pourrait se faire attendre et serait sans doute vendu à prix d’or ( Objectif : 150 euros la dose de vaccin. Fabien Roussel dénonce le scandale Pfizer)

The exact mechanism of ADE in SARS is not known, but the leading theory is described as follows: In certain viruses, the binding of a non-neutralizing antibody to the virus can direct the virus to enter and infect your immune cells. This occurs through a receptor called FcγRII. FcγRII is expressed on the outside of many tissues of our body, and in particular, in monocyte derived macrophages, which are a type of white blood cell. In other words, the presence of the non-neutralizing antibody now directs the virus to infect cells of your immune system, and these viruses are then able to replicate in these cells and wreak havoc on your immune response. One end of the antibody grabs onto the virus, and the other end of the antibody grabs onto an immune cell. Essentially, the non-neutralizing antibody enables the virus to hitch a ride to infect immune cells. (Is a Coronavirus Vaccine a Ticking Time Bomb?)

Comme pour confirmer ces risques d’effets ADE, d’échappement immunitaire et d’augmentation de la mortalité, ainsi que la séléction de nouveaux variants plus contagieux suite à la vaccination, voici un extrait d’un article publié reposant sur les recherches effectuées par l’éminent virologue belge Dr Geert Vanden Bossche :

Viendra-t-il un jour où les personnes chez qui on a inoculé la thérapie génique seront en danger, voire dangereuses pour les autres ? Pire, l’humanité serait-elle menacée ? Ce ne sont pas des paroles en l’air que j’avance là ; elles reposent sur les recherches effectuées par Geert Vanden Bossche, un virologue belge, indépendant et expert en vaccins, anciennement employé à la Vaccine Alliance GAVI et à la Fondation Bill & Melinda Gates. Il a publié ces derniers jours une lettre ouverte ainsi que des analyses, sonnant l’alarme sur les risques de la vaccination de masse contre le COVID-19, telle qu’actuellement mise en œuvre ou prévue dans de nombreux pays. Il est pourtant un ardent défenseur du principe vaccinal, et ses propos ne sont pas à prendre à la légère.

Pourquoi? En fort résumé, aujourd’hui, la majorité des gens contaminés (malades ou simplement porteurs) le sont par un variant, et non par la souche originelle. Le « vaccin prophylactique » met votre immunité innée (celle de première ligne à large spectre et moins spécifique) en concurrence avec des anticorps spécifiques acquis par la vaccination (sur la protéine Spike fort mutable uniquement, puisque seulement celle-ci a été fabriquée par votre corps suite à l’injection) , et à longue durée de vie. Comme ces derniers sont plus spécifiques, ils auront tendance à plus se lier avec le virus que vos anticorps de première ligne, voire supprimeront votre immunité innée. Aussi, chaque fois que vous serez en contact avec un virus de type corona, ces anticorps acquis s’activeront et se lieront aux virus, mais leur spectre d’action étant limité au virus spécifique pour lequel ils ont été conçus, ils pourraient être faiblement immunisants (ne pas neutraliser le virus), mais au contraire lui servir de cheval de Troie et empêcher vos propres anticorps naturels de reconnaître et combattre le virus. Pire, confronté à des anticorps non-neutralisants, le virus aurait tout le loisir et serait encouragé à muter et à créer de nouveaux variants par échappement immunitaire (sélection naturelle)… Vu la suppression de votre immunité innée, un virus bénin deviendra alors sévère, voire mortel pour la personne qui se trouve à son contact. Votre charge virale augmentant, vous seriez également plus contagieux et contribueriez à plus propager l’épidémie… Selon le Dr Vanden Bossche, nous nous trouvons aujourd’hui face à un problème d’ampleur mondiale, parce que le vaccin entraînerait la séléction de variants contre lesquels l’organisme de la personne vaccinée ne peut plus se défendre. On crée donc un problème plus grave que celui de départ : certaines personnes pensent que le virus va se calmer et s’éteindre grâce à ces vaccins, alors que c’est exactement le contraire qui va se passer. Tout comme certaines bactéries sont devenues résistantes aux antibiotiques, nous sommes en train de créer une résistance au « vaccin prophylactique » dans une population qui aura perdu son système immunitaire inné, alors que des souches infectieuses circulent. Serions-nous alors en train de transformer une pandémie naturelle en pandémie artificielle, et les gens seront laissés sans aucune réponse immunitaire naturelle? Nous espérons bien que non, mais la question est posée. Je vous invite à lire les notes ou écouter l’intervention du Dr Vanden Bossche au Sommet sur la vaccination qui a eu lieu dans l’Ohio entre le 1 et le 3 mars 2021, organisé par le Biogate Scientific Center Pvt Ltd pour entendre ses explications plus techniques et précises. Voici encore un autre article scientifique publié dans Plos Biology en 2015 et allant dans la même direction Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens.

Un autre risque potentiel et non élucidé à ce jour est si les anticorps formés contre les protéines de pointe des virus du SRAS peuvent également se comporter comme des anticorps anti-Syncitin-1, vu la similitude de ces protéines. Mais, si tel est le cas, la formation du placenta est empêchée et les femmes vaccinées deviennent stériles. Étant donné que les femmes en âge de procréer, qui ont participé au protocole de l’étude Pfizer/BioNTech, ont été invitées à prendre un contraceptif jusqu’à 28 jours après la dernière dose, il peut s’écouler un temps relativement long avant que la stérilité post-vaccinale puisse être détectée.

Il y a un risque éthique et démocratique lié au passeport vaccinal que l’Europe a annoncé vouloir introduire avant l’été et donnant accès aux voyages, concerts, aux restaurants, peut-être aussi au travail et tout aspect de la vie économique, comme en Israël ? N’est-il pas important que chacun puisse choisir en âme et conscience, spécialement vu les risques et les inconnues liés au vaccin et que la réalité ne peut se résoudre à un choix binaire (quid des traitements par exemple que nous abordons ci-dessous, où de tous ceux qui pensent que renforcer leur immunité naturelle est la bonne solution)? Dans ces conditions, l’accepter ne serait-ce pas renoncer à son droit le plus strict de choix sur son corps et sa santé? Lorsque l’on commence sur cette voie, y a-t-il un risque de ne pas savoir prédire où cela finira? Fait-il sens, alors qu’il pourrait ne pas même empêcher la transmission, que s’il est autant efficace qu’annoncé, les personnes qui veulent se protéger le seraient, et s’il n’est pas tellement efficace pourquoi l’imposer? Que se passera-t-il pour ceux qui refuseront de se faire vacciner? Le passport deviendra-t-il la nouvelle étoile jaune d’une société « bien-pensante »? Voilà en tout cas un certain nombre de questions éthiques sur lesquelles il semblerait opportun de réfléchir. Nous vous renvoyons d’ailleurs vers une lettre bien documentée de Children’s Health Defense au parlement Européen à ce propos:
Certificat vert numérique: Lettre de Children’s Health Defense au Parlement Européen

Fig. 2. Number of reported individual cases of adverse events following vaccination in the European Eudravigilance database categorized by seriousness for the AstraZeneca and Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccines on 13.03.2021. Several 100 000 of events were reported. Several thousands of people died in hours or days after vaccinations (No link was officially established).

Les bases de données Eudravigilance (liens et mode d’emploi sur Covid Vaccine, What could Possibly go wrong? ) permettent d’ailleurs de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les vaccins actuellement autorisés en Europe. On peut y voir un nombre d’effets secondaires graves élevé (Fig. 2 ci-dessus; pour la France voir le rapport d’enquête de pharmacovigilance du vaccin Pfizer – BioNTech Comirnaty à la figure ci-dessous) de l’ordre d’environ 0.2 à 0.7% (c’est à dire plusieurs centaines de fois supérieures à ce que l’on peut s’attendre par exemple pour un vaccin contre la grippe classique). Il faut également savoir que l’on estime que seule une fraction des effets secondaires (typiquement entre 1 à 10%) sont reportés sur ces sites. Alors imaginez vacciner 7 milliards d’individus, combien de dizaines de millions de personnes pourraient être impactées? Et puis, faudrait-il recommencer une à deux fois par an, vu que le virus mute (Netanyahu: Israel readying for new vaccination drive in 6 months, including kids)?

France : Enquête de pharmacovigilance du vaccin Pfizer – BioNTech Comirnaty Rapport n° : 15 période du 30 avril 2021 au 13 mai 2021. Nombre d’injections réalisées avec le vaccin Pfizer‐BioNTech Comirnaty depuis le
début de la campagne vaccinale : 20 964 345. Le rapport dans son intégralité à:
https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/21/20210521-covid-19-vaccins-rapport-hebdomadaire-15-pfizer-3.pdf

Si vous voulez savoir comment on prouve les effets secondaires des vaccins, de comment les déterminer, car la médecine n’est pas une science exacte, mais se base sur des outils statistiques. Le mieux serait de pouvoir comparer la même personne avec et sans le vaccin. A moins de vous trouver dans l’expérience quantique du chat de Schrödinger, ceci n’est évidemment pas possible (Alors la personne ci-dessous est-elle morte à cause du vaccin ou pas? A ce jour aucun lien n’a pu être établi. Sur les bases de données on peut voir environ 1 personne sur 20 000 décéder dans les heures ou jours après la vaccination). On se base donc sur des populations statistiques randomisées, par ex. une qui reçoit le vaccin, l’autre pas (le groupe placebo) et on compare, si possible sans biais. Il faut encore savoir que le placebo est rarement neutre et ça rend difficile l’évaluation des effets secondaires. Nous vous renvoyons à notre article Comment déterminer les effets secondaires des vaccins, le cas du Covid-19 et du Papillomavirus et la question de liberté vaccinale. Plus d’info sur les vaccins en général: Quelques généralités sur les Vaccins. Une lettre ouverte de médecins aux autorités qui reprend beaucoup des interrogations reprises ici et que vous pouvez signer se trouve ici.

Dr. Gregory Michael, 56, an OB-GYN at Mount Sinai Medical Center in Miami Beach, died after suffering a hemorrhagic stroke apparently resulting from a lack of platelets. Michael’s wife, Heidi Neckelmann, said he sought emergency care three days after the shot because he had dots on his skin that indicated internal bleeding. He was eventually admitted to the ICU with a diagnosis of acute Idiopathic thrombocytopenic purpura (ITP), a rare condition in which the body’s immune system mistakingly attacks cell fragments found in the blood known as platelets. The condition she said led to his stroke, called thrombocytopenia, results from a lower-than-normal number of platelets, which help the blood clot. Neckelmann described Michael as the « love of her life » and blamed his death on the vaccine. « He was a very healthy 56-year-old, loved by everyone in the community, delivered hundreds of healthy babies and worked tireless through the pandemic, » She said a team of doctors from across the country tried for two weeks to raise his platelet count « to no avail. » He was conscious until suffering a hemorrhagic stroke « that took his life in a matter of minutes, » she wrote.Michael was a vaccine advocate, his wife said, before raising doubts about its safety.Pfizer, which along with its partner BioNTech made the vaccine the man received, said in a statement that it was aware of the death. « We are actively investigating this case, but we don’t believe at this time that there is any direct connection to the vaccine, » the statement said.

Fig. 3. Mortality rate per age categories of the year 2020 compared to the averaged value for 2013-2019 in Switzerland. An excess of the mortality rate for 2020 is not observed compared to the averaged of the 7 previous years. Various studies have found similar results across Europe ( cfr. Covid, mortalité et confinement), for instance a study for Belgium.

Concernant les risques du Covid 19 lui-même, il y a des morts mais il faut regarder les choses scientifiquement et les chiffres sont là. La surmortalité, elle, n’y est pas (Fig. 3, il faut tenir compte de l’évolution démographique et du vieillissement de la population). L’année 2012 par exemple aura été plus fatale que l’année 2020 dans toutes les classes d’âge, car les taux de mortalité respectifs y sont sans exception plus élevés. Cependant, cette année à forte mortalité est restée médiatiquement inaperçue.

Je vous invite à aller voir l’article plus complet: Covid, mortalité et confinement pour plus de données sur la létalité, les décès et taux de survie, la surmortalité liés au Covid par tranche d’âge.

Si vous pensez-que tous cela est dû aux mesures de confinement et autres prises par notre gouvernement, sachez que plusieurs études scientifiques statistiques comparatives montrent que les mesures non-médicales prises sont en fait peu efficaces ou même contre-productives pour gérer l’épidémie. Cela peut paraître contre-intuitif et pourtant (regardez aussi la mortalité de la Suède, Fig. 1. Contrairement à ce qu’on peut dire sur la faible densité de la population comme explication, il faut savoir qu’en Suède, 87.5 % de la population vit sur 1.5 % du territoire dans les villes densément peuplées du Sud)… Je vous invite également à aller voir note article La tyrannie du risque zéro, gouvernance éclairée ou dystopie sanitaire ? pour plus de détails.

Fig. 4. Effect of Ivermectin in vitro taken from the publication: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3765018

Fig. 5. Summary of scientific studies of effect of Ivermectin in prophylaxis (preventive intake), early and late treatment of COVID-19 on March 15 2021. Direct link towards the real time meta-data database that includes several hundreds of scientific studies about Covid-19 treatments and their efficiencies, such as ivermectin (one the most promising cure with an efficiency to reduce lethality up to 89%) https://c19ivermectin.com/.

Fig. 6. Effect of Ivermectin in Panama taken from Chamie (Data for more countries available in the link).

Pour terminer, il semble important de rappeler que la prévention et renforcer notre immunité naturelle  vitamine dc, et zinc, et même peut-être des huiles essentielles comme celle de laurier noble, ainsi que le traitement précoce restent sans doute la piste à privilégier pour diminuer le risque de la covid-19. De plus en plus de pays autorisent par exemple l’ivermectine (The FDA-approved drug ivermectin inhibits the replication of SARS-CoV-2 in vitro), un produit sûr, peu coûteux et utilisé depuis de nombreuses années comme antiparasitaire et la mortalité chute dans un délais bref après son introduction (Fig. 4, 5, 6,7,8,9).

Fig. 7. Effect of Ivermectin in Mexico taken from Chamie (Data for more countries available in the link). Chamie is a scientist (data analyst) from Cambridge, working on ivermectin.

Fig. 8. Effect of Ivermectin in Mexico taken from the publication: https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3765018

Fig. 9: Mexico City Wide Innovative Population-Level Study Administers Ivermectin-based Home Kits with Drastic Reduction in Hospitalizations: Using a quasi-experimental research design involving a Coarsened Exact Matching method leveraging hospital and phone call monitoring data, the study team estimated logistic-regression models with a range of observational data and found a significant reduction in hospitalizations among the cohort receiving ivermectin-based medical kit. In fact, the range of positive effect totaled 52% to 76% depending on model specification. The team concluded that ivermectin-based interventions in a well-designed population-level scheme mitigates the effects of the COVID-19 pandemic on the health system in the world’s fifth largest city. TrialSite includes diagrams of the impact these population-level schemes have had in the region. The results should trigger public health discussions in other large metropolitan areas. This study included over 200,000 people.



Nous vous renvoyons au Blog du Dr Gérard Maudrux qui commente et analyse avec beaucoup de détails un grand nombre d’études et de connaissances sur l’ivermectine et son opinion pour le non engouement des firmes pharmaceutiques pour ce produit. Nous nous permettons de copier ci-dessous les extraits qui nous semblent les plus pertinents. Il semblerait également que l’ivermectine, plus efficace et plus sûre que l’hydroxychloroquine (HCQ), subisse des « attaques » similaires à cette dernière. Nous vous renvoyons en fin d’article pour plus de détails sur l’HCQ.

Concernant les virus, qui ne possèdent pas de système nerveux plusieurs modes ont été décrits. Le principal, admis par tous, est une action sur les protéines de transport et de pénétration du virus dans le noyau, qu’elle bloque, le virus ne pouvant alors plus se reproduire. C’est un inhibiteur spécifique du transport nucléaire dépendant des importines α et β, servant à ce transport dans le noyau.

Pour certains l’Ivermectine aurait d’autres vertus. Cette présentation du Dr Paul Marik offre un panorama d’ensemble de l’état des connaissances et des hypothèses sur les modes d’action de l’Ivermectine. Pour résumer, selon Caly L et Druce J, elle se lierait à la Spike protéine. Une étude de Lehrer S in vivo semble montrer une synergie avec les macrolides pour bloquer l’entrée du virus en agissant sur certaines protéines (CL3, RdPd, la nucléocapside et d’autres), Lenin A et Alvarado Y ayant démontré l’arrimage à CL3. D’autres synergies avec les macrolides ont également été constatées dans le traitement du lupus. DiNicolantonio J et McCarty M constatent des effets anti inflammatoires et immuno suppresseurs, et Zhang X et Xinxin Ci ont montré son action sur les cytokines inflammatoires, avec baisse importante de la production d’interleukine 1 (protéine utilisée par le système immunitaire et les globules blancs). Tout ceci explique que l’Ivermectine semble le seul produit actif à tous les stades de la maladie, précoce et tardif. Nous avons trouvé aussi un article plus récent, dans lequel l’Ivermectine inhiberait l’hélicase permettant de dérouler l’ARN, empêchant la sa réplication.

PROPHYLAXIE

L’Ivermectine a une action remarquable en prophylaxie contre le Sars-Cov-2. Le faible taux de Covid en Afrique, alors qu’au début de l’épidémie l’OMS prévoyait une hécatombe, n’est peut-être pas étranger à sa large utilisation (sans compter tous les traitements pour le paludisme avec Hydroxychloroquine). Dans le Journal International des agents antimicrobiens, Martin Hellwig et coll de Plymouth (USA), après une revue de la littérature, constatent que « les pays où la chimio-prophylaxie par Ivermectine est administrée en masse, connaissent une épidémie significativement plus faible. » Toutefois si une prise annuelle est suffisante pour nombre de parasites, ce n’est pas le cas pour les virus, d’où l’intérêt des travaux en cours de la société Medincell à Montpellier pour développer une forme à action prolongée.

Il y a actuellement dans le monde, concernant la seule prophylaxie, 11 études sur le sujet (3ECR), portant sur plus de 7 000 patients, avec une efficacité moyenne de 89%. Deux exemples, avec 100% d’efficacité :

Une étude en Argentine a porté sur près de 1 200 soignants au contact de patients Covid, sur 4 sites, pendant 2 mois et demi. 788 ont reçu de l’Ivermectine, 407 rien. Résultat : 237 infections dans le groupe non traité, soit 58%, et 0 dans le groupe traité. Résultat sans appel. 

Une seconde publication, française. 121 personnes d’un Ehpad (69 résidents, moyenne d’âge 90 ans, et 52 employés) de Seine et Marne s’étaient retrouvés protégés du Covid, grâce au traitement d’une épidémie de gale dans l’établissement en mars 2020. 

ACTION THÉRAPEUTHIQUE

Si l’Ivermectine agit sur le Covid-19 lorsqu’il attaque, empêchant son entrée dans les cellules et sa multiplication, a fortiori, il serait totalement illogique que ce que l’on constate en prophylaxie ne se reproduise pas en thérapeutique. C’est ce que montre la plupart des études, décrivant une amélioration très rapide des troubles, 48 heures, en phase précoce. Elle n’est pas dénuée d’intérêt non plus en phase plus tardive.

Aucune étude dans le monde montre une inefficacité de l’Ivermectine, aucune. 2 ou 3 ne montrent pas de différence, ces études (comme Chachar à Lahor) portent chaque fois sur peu de cas et des sujets jeunes, moins de 40 ans (23 ans pour le plus jeune). Comment démontrer qu’un traitement marche mieux dans une maladie qui guérit seule à cet âge ?

S’il est difficile d’analyser ces études, toutes différentes, toutes avec imperfections possibles, le mieux est de les additionner, ce qu’est en train de faire l’OMS pour évaluer l’Ivermectine. On trouve plusieurs sites qui le font, et il y a les études de plusieurs médecins, comme les Drs Marik et Kory aux Etats Unis et Hill et Lawrie en Angleterre.

https://c19ivermectin.com recense 41 études (dont 20 randomisées) faites par 304 auteurs portant sur 14 833 patients, avec des résultats de 89% en prophylaxie, 83% en phase précoce, la mortalité globale diminuant de 78%.

En mars 2020 le professeur Paul Marik a créé un groupe d’experts, avec le Dr Kory, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), pour colliger et analyser toutes les études afin d’élaborer un protocole de traitement pour le COVID-19. Ils ont découvert sur le tard l’Ivermectine. Leurs travaux reprennent tous les modes d’action de l’Ivermectine et les résultats de tous les essais disponibles en prophylaxie et en thérapeutique. Ils détaillent chacune des études, sans faire de méta analyse et concluent à une efficacité de l’Ivermectine en prophylaxie, thérapeutique et Covids longs. Ces résultats sur plus de 7 000 patients ont été présentés le 6 janvier devant le National Institut of Health.

Andrew Hill, à la demande de l’OMS/Unitaid a analysé 18 essais cliniques randomisés les moins discutables, portant sur 2 282 patients. Il a noté une amélioration rapide des troubles, une hospitalisation réduite et une réduction de 75% de la mortalité.

Il y a également les travaux du Dr Tess Lawrie. Ce médecin d’origine Sud-Africaine, chercheur en Grande Bretagne, directrice d’une société indépendante de Conseil en Médecine basée sur des preuves (Evidence-Base Medecine Consultancy Ltd), qui traque les bonnes et les mauvaises publications. Son travail sur l’Ivermectine, est fait selon les règles Cochrane, les plus pointues en la matière, comme elle a l’habitude de le faire pour l’OMS pour ses recommandations pour le monde entier. Elle a repris les 27 analyses de la FLCCC, pour en faire une méta-analyse incluant les essais contrôlés randomisés (ECR) et les études observationnelles contrôlées (EOC), et excluant 11 études dont 5 prophylactiques. Les résultats sur les seules études les moins discutables, contrôlées, relues et publiées, montrent une diminution de la mortalité de 83%. Sur les études en prophylaxie, efficacité à 88%.Tout est résumé dans une excellente interview à voir.

Toutes ces études, de part et d’autre de l’atlantique convergent, donnent toutes les mêmes résultats, résultats confirmés en ne sélectionnant que les études ne pouvant pas comporter de biais. Comme le dit Tess Lawrie, on peut discuter selon les études du pourcentage de baisse de la mortalité, mais la seule chose qu’on ne peut discuter, c’est de la réalité de la baisse, indiscutable. L’OMS et l’ANSM, ainsi que d’autres pays (Afrique du Sud, Angleterre,..) sont en train d’étudier le dossier Ivermectine pour revoir leur position. L’Inde distribue massivement (120 millions de doses vendues) et a 3 à 4 fois moins de décès que nous, et chaque mois 2 ou 3 pays de plus autorisent son utilisation. Voir la carte du monde.

Que sont les études non retenues ? Quelques études trop petites ou peu représentatives (moins de 40 ans, réanimation,..), mais aussi de grosses études,  car non encore relues et publiées, mais les résultats sont là. Exemple, une des plus grosse de la littérature, 3 100 patients, réalisée en République Dominicaine, dans les hôpitaux de Bournigal et Punta Cana. Ce pays traitait largement à l’hydroxychloroquine, mais est tombé en rupture de stock troisième semaine d’avril 2020. Ayant lu que l’Ivermectine pouvait être avantageusement utilisée dans la Covid dans une étude australienne in vitro, leur Comité d’éthique a tranché entre Doliprane et Ivermectine.

Ils ont alors traité du 1er mai et le 10 aout (date de fin de l’étude en question), tous les patients se présentant aux urgences pour Covid, soit 3 099 patients au total. Selon l’importance des troubles, ils ont distingué 4 grades.

2 706 patients grade 1 ont été renvoyés et suivis chez eux, avec Ivermectine. Sur ces 2 706 patients, 16 ont dû par la suite être hospitalisés en unités Covid, soit 0,6%, 0 décès, et 2 sont passés en soins intensifs avec 1 décès, soit 0,04%. Chez nous, sous Doliprane, 10 à 15% des patients symptomatiques passent par l’hôpital, 2% meurent.

Les 300 patients grades 2, traités plus tardivement avec troubles plus sévères, ont été hospitalisés dans des unités Covid. Moyenne entre apparition des troubles et traitement : 6,9 jours. Sur ces patients, 3 sont décédés, soit 1%. Chez nous, ce chiffre est de l’ordre de 15 à 20%.

Les grades 3 et 4, encore plus touchés, arrivés plus tardivement, (7,8 jours après premiers symptômes) ont été hospitalisés en soins intensifs. 34 décès, soit 30%, soit comme chez nous voire légèrement en dessous.

Conclusions : au stade précoce l‘association Ivermectine/Azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, et ramène la mortalité à 1 cas sur 2 700 (en France, depuis deux mois, nous sommes à 50 morts pour 2 700 Covids (dont la moitié non symptomatiques, alors qu’ici ils le sont tous). Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés, la mortalité est divisée par 10, par contre en réanimation, pas de différence.

Le biais de cette étude est la non randomisation et beaucoup de patients sans test PCR. En ce qui concerne la randomisation, 2 700 traités à domicile suppose une cohorte de 2 700 cas non traités, avec une mortalité de 50 patients, soit 49 sacrifices sur l’autel de la publication. Il s’agit d’une étude observationnelle, le pays n’a pas les moyens de tester à tout va comme en France, et ils ont traité comme ils le faisaient avant. Tous les patients ne sont pas testés, mais tous sont malades, s’étant présentés aux urgences, avec des troubles datant de 3,6 jours en moyenne. En France on assiste à une dérive depuis quelques années : on fait des examens et on traite le résultat de ces examens selon un protocole, là-bas, on traite les malades, un examen qui ne change rien au diagnostic ou au traitement n’est pas forcément fait. Il faut se remettre dans le contexte du pays pour juger, surtout quand on est incapable de faire ces études chez nous.

AUTORISATION DE TRAITEMENT

Pourquoi l’Ivermectine n’est-elle pas encore officiellement autorisée ? Tout médicament, avant commercialisation, doit passer nombre d’examens pour démontrer son efficacité et son innocuité, avec un rapport bénéfice/risque qui doit être favorable. Les études pour y parvenir, sont longues et coûteuses, financées uniquement par les laboratoires, qui remettent un dossier clés en main aux autorités qui délivrent le sésame. Pour qu’un laboratoire fasse ces démarches, il faut qu’il y trouve un intérêt. Le problème de l’Ivermectine est qu’elle est tombée dans le domaine public, n’importe qui peut en fabriquer, qui fera ces démarches pour que d’autres vendent ?

C’est le laboratoire Merck qui en détenait le brevet. En France, il vend moins de 5% des 11 présentations commerciales autorisées, le reste étant des génériques. Pourquoi dépenserait-il quelques millions pour que d’autres en profitent ? L’Ivermectine est une molécule « orpheline » que personne ne prendra plus en charge. Ce devrait-être le rôle des autorités sanitaires de s’occuper de ces dossiers pour défendre l’intérêt général. Il n’y a pas que le Covid : regardez les poux, l’Ivermectine fait merveille sur eux, plus que tout autre traitement, mais comme ce n’était pas dans l’indication initiale, il n’y a personne pour porter ce dossier qui rendrait d’immenses services.

Si l’Ivermectine pouvait être commercialisée à 1 000 euros le traitement, vous verriez nombre de laboratoire se précipiter à l’Agence du médicament pour obtenir un feu vert. À 2 000 euros le traitement vous avez vu l’efficacité de Gilead pour obtenir ce sésame en peu de temps, alors que son efficacité est nulle comparée à l’Ivermectine et qui est de plus très dangereux. Des perspectives financières, un bon dossier et quelques appuis, c’est plus utile qu’une bonne efficacité !

Le second problème vient sans doute d’un puissant lobby économique. Imaginez qu’un médicament tombé dans le domaine public, à 1 euro la gélule (10 cts en Inde), traite tous les covids : ce sont des milliards et des milliards perdus par l’industrie pharmaceutique.

Et puis il y a l’Etat, qui a confisqué la médecine aux médecins, et qui a décidé qu’il n’y aurait pas de traitement du Covid en dehors des centres hospitaliers, bloquant toutes les expérimentations pouvant être faites. Allez savoir pourquoi. Et puis il y a la presse qui l’aide à geler tout cela, dénigrant systématiquement tout traitement. Ne trouvant pas d’étude défavorable, alors qu’il y a plus de 60 études chez l’homme, elle va chercher une étude in vitro alors que ce sont des patients que l’on traite et non des boîtes de Pétri. Quant aux autres études, pour cacher les résultats elle n’en parle pas mais parle uniquement de la qualité de la publication, et n’évoque jamais les études en prophylaxie ni les méta-analyses. Le summum a été atteint récemment par Prescrire, qui pour démontrer que l’Ivermectine ne marche pas, cite 9 études, qui toutes montrent que cela marche. Ensuite pour ne pas avoir à chercher la vérité, les journalistes finissent par se citer les uns les autres pour prouver qu’ils disent la vérité.

Pour libérer l’Ivermectine de toutes ces contraintes, réponse de l’OMS et de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) dans 6 à 8 semaines. Tout le monde se défile, se refile la patate chaude, personne n’ose passer le premier, mais cela passera un jour, car il ne sera plus possible de cacher plus longtemps ce qui se passe ici et là et qui grossit. L’ANSM a été avec la première autorisation à l’origine de l’expansion fantastique de ce médicament ayant conduit à un prix Nobel, souhaitons qu’elle renouvelle ce jugement qui conduirait vers un second Nobel, en ne se préoccupant que de l’aspect santé. 

L’Ivermectine a déjà sauvé des centaines de millions de vies, elle a encore un potentiel insoupçonné à dévoiler, si on veut bien se donner la peine de le chercher. En attendant, chaque mois perdu pour lire 40 études déjà lues dix fois, c’est 12 000 morts de plus chez nous.

Un autre article accepté après review et qui sera finalment rejeté en dernière minute pour des raisons obscures?:

Drug used to treat lice and scabies drug could cut Covid deaths by up to 75%, research suggests:
  • New study suggests ivermectin cuts Covid infections by around 75 per cent
  • More than 30 trials globally found the drug caused improvements in treatment
  • The study is set to be published in the US journal Frontiers of Pharmacology

Plus de lien:

Front Line COVID-19 Critical Care Alliance: Prevention & Treatment Protocols for COVID-19

Méta-analyse sur l’ivermectine du Dr Andrews Hill, de l’Université de Liverpool, en Angleterre:

  • L’Hydroxychloroquine (HCQ):

Many people believe HCQ does not work and is dangerous since the infamous Lancet study (https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext) or that from the New England Journal of Medicine (NEJM: https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007621). However, both got retracted for fraud after a few days following huge criticism from the scientific community. However, many scientists citing two scandalous COVID-19 papers still ignore their retractions :

(https://www.sciencemag.org/news/2021/01/many-scientists-citing-two-scandalous-covid-19-papers-ignore-their-retractions).

In addition, in many studies, 2.4 g per day for 5 days were given to nearly dying patients. 2.4 g per days is 2x the lethal dose. Do you know that if you take 2x more Dafalgan that you should per day, you may likely be dead within 3 days from a liver necrosis? Is Dafalgan lethal then? But even with that high dosage of HCQ, in the end, several studies show that lethality rate could be reduced by ~25% . The recommended dosage was about 400 g for 10 days and combined with an antibiotic as early as possible (lethality reduction in the 65 to 70%: check the real time status of the Database of hundreds of HCQ COVID-19 studies at https://c19study.com/ ), and even better if you associate with d-vitamines from several studies…

About the percular pandemic situation, Kamran Abbasi, executive editor of the British Medical Journal (one of the top 10 medical journal) wrote the following editorial:
Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

BMJ 2020; 371 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Published 13 November 2020)

When good science is suppressed by the medical-political complex, people die

Par: Aryan Afzalian.
Ingénieur civil et Docteur en Sciences Appliquées, je suis un chercheur spécialisé dans le domaine de la physique quantique atomistique appliquée entre autre à la modélisation de la nano- et bio-électronique.

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