COVID-19: Vaccins ARN, Immunité, Traitement et Démocratie.

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A lire aussi: Covid, mortalité et confinement Les enjeux de la crise du Covid

Alors que l’on assiste à une sorte de débat de caricature dans la presse et les réseaux sociaux au sujet du vaccin covid, où l’on monte les provax contre les antivax avec des arguments simplistes et un manque d’objectivité, de nombreux experts, traditionnellement pro-vaccins d’ailleurs, mettent cependant en garde avec des arguments plutôt sérieux. En voici l’essentiel. Toutes les sources et documents se trouvent dans les sections suivantes :

  • Risque de modifications génétiques : Si l’ARN ne rentre effectivement pas dans le noyau, il existe un mécanisme de rétro-transcription de l’ARN dans notre ADN, par rétrovirus par exemple (VIH mais aussi des virus silencieux que certains ont sans le savoir), même si la probabilité est plutôt faible, on ne peut pas l’exclure. Il est à noter également que les vaccins à vecteur viraux, comme celui d’Astra-Zeneca avec lequel on veut vacciner massivement nos jeunes, sont en fait des vaccins à ADN. Ils utilisent en-effet directement une chimère qui vient introduire de l’ADN viral rétrotranscript dans le noyau de nos cellules, avec un risque accru de modifier notre ADN de façon inconnue: « Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM » : synthèse de la note du Dr Vélot
  • Création de nouveaux virus recombinants : La vaccination de masse avec ce type de vaccins pourrait devenir une fabrique à grande échelle de nouveaux virus recombinants. N’oublions pas qu’il suffit qu’un seul nouveau virus apparaisse quelque part dans le monde pour que les conséquences sanitaires, environnementales, sociales, soient mondiales et colossales… »
  • Maladie auto immunes typiquement entre 1/10 000 -1/30 000 en général (https://auxamescitoyennes.wordpress.com/2021/01/18/les-vaccins-en-general/ ), nous ne disposons pas de données statistiques suffisantes pour ces nouveaux vaccins, mais les mécanisme d’effets en cascade indésirés qui pourraient conduire notre système immunitaire à avoir d’autres réactions en réponse au vaccin à ARN seraient bien moins contrôlable que dans les vaccins classiques.
  • Effets court et long terme et la question de comment les déterminer et de l’objectivité, car la médecine n’est pas une sciences exacte, mais se base sur des outils statistiques. Nous vous renvoyons à notre article ci-dessous:

( https://auxamescitoyennes.wordpress.com/2021/01/18/vaccin-covid-19-et-absense-d-effets-secondaires/

Nous vous renvoyons aussi à notre article Covid Vaccine, What could Possibly go wrong? pour voir les effets secondaires sur les databases européennes et américaines. Le nombre d’effets secondaires et dècès suivant vaccination est inhabituellement élévés comme montré également sur le graphe ci-dessous.

Postvaccination Mortality in the USA: unusual proportion of deaths in reports on vaccine reactions from January 2021. This suggests highly dangerous adverse effects by mRNA-based vaccine technology as compared to classical vaccines.

http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270802

VAERS is the federal institution centralizing reports on adverse reactions to vaccines in the USA. Data are not extensive and are limited to those reported to VAERS. The data are publicly available since 1990 at:
https://vaers.hhs.gov/data/datasets.html?

  • Le virus mute. Devra t’on dès lors s’injecter deux doses de vaccins, tous les 3 à 6 mois et prendre chaque fois des risques? Vu les taux de survie très élevés face au covid (Les moins de 45 ans (6.206.000 Belges, 54% de la population) 99.999% de chance de survie à la covid, Entre 45 et 65 ans (3.082.000 Belges, 26.8% de la population) 99.965% de survie, Entre 65 et 75 ans (1.170.399 Belges, 10.18% de la population) 99.80% de survie, Entre 75 et 85 ans (698.940 Belges, 6.08% de la population) 99.21% de survie, Et pour les plus de 85 ans (335.139 Belges, 2.91% de la population) 96.7% de survie. Cfr. https://auxamescitoyennes.wordpress.com/2021/01/21/covid-mortalite-et-confinement/), la balance bénéfice-risque semblerait plutôt pencher pour l’immunité naturelle (en tout cas chez les moins de 65 ans, quant aux plus agés, nous n’avons pas de résultats dans l’étude Pfizer. Il faut savoir également que de l’expérience des vaccins pour la grippe on sait que l’on ne peut pas extrapoler les résultats des plus jeunes vers les plus âgés car le système immunitaire des plus âgés est moins responsif et ils sont plus fragiles.
  • D’après l’article scientifique de Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint au Britisch Medical Journal (BMJ), les données scientifiques récemment mises à disposition par les laboratoires Pfizer et Moderna engendrent de nouvelles préoccupations concernant la fiabilité et la signification des résultats d’efficacité rapportés.
    1) Si on prend en compte les cas de personnes qui ont présenté des signes de maladie Covid-19 non confirmés par test PCR, l’efficacité du vaccin contre les symptômes du covid-19 serait en réalité située entre 19% et 29%, bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% fixé par les régulateurs.
    2) 371 personnes ont été exclues de l’analyse Pfizer, pour des « écarts importants au protocole » sans que ceux-ci ne soient précisés. 80% des exclus provenait du groupe vaccin. Quelles sont donc ces causes d’exclusion non homogènes dans les 2 groupes ?
    3) Le taux bien plus élevé d’utilisation de médicaments contre la fièvre et la douleur dans le groupe vaccin sous-entend une levée non officielle de l’insu de la personne vaccinée. Les protocoles expérimentaux décrits dans les articles du New England Medical Journal font d’ailleurs mention d’un test en simple aveugle « observed-blinded », et non pas en double aveugle.
    4) On ne connait pas l’efficacité ni l’innocuité du vaccin chez les personnes ayant déjà été atteintes de la Covid. Les données brutes des essais ne sont pas accessibles et ne seront rendues disponibles que 24 mois après la fin des études, soit vers le milieu ou la fin de l’année 2022 (cfr. https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/?fbclid=IwAR2sNQs6OKKGzdS8dxc-q9z3PGPmkKbabTF-vY89476N8HnKzqqAZOUqK6k ).
  • Il y a des traitements qui marchent bien pour diminuer le risque de la covid, et sans ou avec très peu de risques d’effets secondaires: vitamine d, c, et zinc, hydroxychloroquine (what HCQ? Wasn’t it shown to increase mortality in covid patients, I hear you say? Well, are you talking among other about the infamous Lancet study or that from the New England Journal of Medicine (NEJM), that both got retracted for fraud? If you still have doubts, maybe you should read this: Many scientists citing two scandalous COVID-19 papers ignore their retractions. In addition, in many studies, 2.4 g per day for 5 days were given to nearly dying patients. 2.4 g per days is 2x the lethal dose. Do you know that if you take 2x more Dafalgan that you should per day, you may likely be dead within 3 days from a liver necrosis? Is Dafalgan lethal then? But even with that high dosage of HCQ, in the end it is now admitted that lethality rate is reduced by ~25% . The recommended dosage was 400 g for 10 days as early as possible with antibiotics (lethality reduction in the 65 to 70%: check the real time status of the Database of all HCQ COVID-19 studies at https://c19study.com/ ) and even better with d-vitamines… ), ivermectine (check the real time status of the Database of all ivermectin COVID-19 studies at https://c19ivermectin.com/), même peut-être l’huile essentielle de laurier noble… On n’arrête pas de mettre en doute les très nombreuses études qui existent, par contre on croit sur parole Pfizer et autres sociétés de Big Pharma (toutes les autorisations sont faites uniquement sur leurs données et il suffit d’utiliser un peu google pour voir les milliards de dollar de condamnation pour données frauduleuses et commissions occultes (corruption) et lobbying intense (cfr. Aussi en fin d’article)). Plusieurs études critiques et indépendantes des résultats de Pfizer nous parlent déjà de quelques fraudes pour le Vaccin Pfizer, en voici une intéressante: étude bidouillée et conclusions douteuses.

https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3765018

De plus en plus de pays autorise l’ivermectine, un produit sûr, peut coûteux et utilisé depuis de nombreuse années comme anti-parasitaire et la mortalité chute dans un délais bref après son introduction comme l’exemple du Panama ci-dessous. Nous vous renvoyons aussi à notre article Covid Vaccine, What could Possibly go wrong?

  • Le vaccin pire que bien ? Il n’est pas certain que le vaccin empêche la transmission, on n’a pas de preuve sur la diminution des cas graves (ni dans l’étude, pas assez de cas, ni en Israël où l’on a vacciné 2 millions de personnes et on ne le constate pas non plus, le vaccin pourrait même augmenter la surréaction immunitaire (Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps ou effet ADE (Antibody Dependent Enhancement) et depuis la vaccination en Angleterre et en Israël, les pays les plus en avance sur la vaccination, la situation se dégrade (nous vous renvoyons vers l’article « Confinement inutile et vaccins douteux », réalités désormais reconnues par ceux qui les ont conseillés, le Pr Delfraissy & Co dont nous avons pris l’extrait ci-dessous pour plus de références sur ce sujet):

À court terme, les résultats des campagnes de vaccination sont franchement mauvais avec un doublement, voire un triplement des nombres quotidiens des contaminations et des décès (et des taux de mortalité et de contaminations reccords depuis le début de la pandémie) comme le montrent les courbes d’incidence et de mortalité publiées par l’OMS.

Ainsi en Israël dont près de 70% de la population a été vaccinée depuis le 20 décembre le mois de janvier a été le plus meurtrier depuis le début de l’épidémie, totalisant à lui seul 30% de la mortalité globale. À ce stade, « nous déclarons que les vaccinations ont causé plus de décès que le coronavirus n’en aurait pendant la même période. » Nous concluons que les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes, écrivent Haim Yativ, ingénieur, et le docteur Hervé Seligmann, anciennement de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille. Haim Yativ et le Dr Seligmann ont analysé les données vaccinales d’Israël dans un article publié sur le site Nakim.org et qui a entre autre été repris par France Soir: https://www.francesoir.fr/videos-debriefings/vaccination-en-israel-des-chiffres-de-mortalite-qui-interpellent-video

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Comme expliqué dans l’article du 25/02/2021 de France Soir, intitulé Vaccin en Israël : des chiffres troublants ! Si le vaccin était efficace, on ne devrait quasiment plus avoir de morts en Israël: En effet, si 90 % des plus de 70 ans sont vaccinés, et si les plus de 70 ans représentent 90 % des décès… eh bien on devrait assister à une chute drastique du nombre de morts ! C’est mathématique : avec un vaccin soi-disant efficace à 98 % contre la mortalité, il devrait y avoir environ 80 % de moins de morts (98 % x 90 % x 90 %).
Le problème est qu’on ne constate pas cette chute drastique du nombre de décès en Israël.

Voici la courbe des morts de la Covid-19 en Israël, depuis le 1er décembre (je rappelle que la vaccination a commencé le 19 décembre) :

On remarque d’abord que, pendant un mois et demi après le début de la vaccination, la mortalité n’a pas arrêté d’augmenter, malgré un confinement strict tout le mois de janvier.

Puis, début février, la mortalité a enfin commencé à reculer. Mais cette diminution est-elle due aux vaccins ? Ou bien à la dynamique naturelle de l’épidémie ? 

Voici par example la courbe de mortalité en Palestine (sans vaccin), juste à côté d’Israël : 

Il est aussi sans doute révélateur en terme d’efficacité de comparer ces courbes à celle par example du Panama (ci-dessus) après l’introduction de l’ivermectine.

Même phénomène en Grande-Bretagne. Depuis que la vaccination a été entreprise, les contaminations et la mortalité journalières se sont considérablement accrues dépassant les pics du plus fort de l’épidémie et un confinement strict a du être imposé.

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La régression mondiale actuelle de l’épidémie, observée en même temps dans les pays confinés ou pas, vaccinés ou pas est heureusement venue limiter l’hécatombe en stabilisant la mortalité au niveau d’avant les vaccinations.

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Les vaccins introduisent-ils de nouvelles souches mutantes du virus et causent plus de malades ?

Le nombre de mort du covid à Gibraltar, qui était de seulement 9 personnes depuis le début de l’épidémie, augmente subitement chez les plus de 70 ans qui viennent de se faire vacciner.

La même chose se passe par example à Monaco ou dans des maisons de repos un peu partout ou une flambée de décès dus à une forme grave de la Covid-19 survient dans les semaines qui suivent la première dose de vaccination. :

Flambée de décès et de contagions Covid après la vaccination dans les maisons de repos:

Quarante-six résidents de maisons de retraite qui avaient reçu leur première dose de vaccination accélérée de Pfizer-BioNTech contre le COVID-19 début janvier étaient décédés à la fin du mois, selon les médias espagnols qui ont signalé les faits.

Ces flambées de décès pourraient-elles être expliquées par cet effet ADE lié au vaccin et qui de fait pourrait créer une catastrophe sanitaire plutôt que d’enrayer l’épidémie, avec toutes les conséquence que l’on peut imaginer?

  • Le risque éthique et démocratique, sans doute finalement le plus important dans cette crise. Pourquoi vouloir imposer un passeport vaccinal à tout prix, alors qu’il ne semble pas faire sens ?

    Le pass sanitaire révélé par Macron est un piège redoutable pour nos libertés en plus d’être impraticable et inefficace sur le plan sanitaire ! Il aboutira à une discrimination de masse intolérable et à un fichage généralisé ! Trop c’est trop nous dit Nicolas Dupont-Aignan, politicien français, Président de Debout La France et Député de l’Essonne.
    Et pourtant, après Macron, Merkel prépare à son tour l’opinion sur le passeport vaccinal: « Tout le monde est d’accord pour dire que nous avons besoin d’un certificat de vaccination numérique et il verra le jour un peu avant l’été », nous dit-elle… Les sondages, en France et en Belgique par example, montrent pourtant que la plus grande majorité de la population est opposée au passport vaccinal…

    Notre démocratie est fragilisée par la censure, les pouvoirs spéciaux octroyés à nos gouvernements, qui leurs ont permis et permettent de voter des lois et prendre des mesures liberticides sans débat démocratique. Pourtant au vu des chiffres de la mortalité, que l’on fait tout pour rendre terrible dans les médias, mais qui in fine quand on regarde objectivement sont plutôt rassurants et le bilan bénéfice/risque plutôt catastrophique des mesures coercitives, qui n’ont d’ailleurs pas d’efficacité scientifiquement prouvée ( voir covid, mortalité et confinement ), il devient difficile de ne pas s’interroger du pourquoi on continue toujours plus obstinément dans cette voie… Et quand bien même, le Covid serait dangereux, un gouvernement démocratique n’a aucun droit d’imposer des mesures, surtout dans la durée, sur des citoyens libres, sans aucune concertation et débat démocratique, et utilisant l’avis d’experts non-élus et ayant des rapports étroits avec l’industrie pharmaceutique. Chacun doit pouvoir déterminer de son propre destin. Le gouvernement se devrait, par contre, de favoriser la prévention par le renforcement du système immunitaire et les traitements précoces, d’organiser des mesures plus ciblées et plus efficaces (mettre à disposition des masque ffp2, distribuer des courses en période d’épidémie,…), refinancer de toute urgence les hôpitaux, mais seulement pour les personnes qui le désirent, parce qu’elles se sentent à risques, qu’elles ont peur, et laisser les autres vivre une vie normale. Voici d’ailleurs une vidéo qui parle de l’enfermement de nos aînés :

Toutes ses mesures qui réduisent drastiquement nos libertés et compromettent notre indépendance économique (couvre-feux, port du masque généralisé, confinements) sont dangereuses et ne peuvent plus continuer. En particulier le passeport vaccinal, combinés aux mesures de tracing et de suivi de contacts est une boite de pandore, ouvrant la porte à toutes les dérives, une ligne rouge à ne pas franchir, et qui pourrait nous mener vers système ressemblant plus au crédit social chinois que la démocratie. La loi autorisant le passeport vaccinal a d’ailleurs été votée en urgence à la Chambre en Belgique, le 17 décembre et mise en œuvre par un arrêté royal du 24 décembre. Surtout que l’on essaye de pousser la prolongation de ces pouvoirs spéciaux. « Le vaccin seul ne mettra pas fin à la pandémie », prévient l’OMS. Il faudra le combiner avec les mesures de restriction de libertés, tracking, isolement, y compris dans des camps covid pour longtemps (pour toujours ?).

Pour en lire plus à ce sujet :  Covid, big-data et démocratie, un danger sans précédent ?

Quelques recommandations pour conclure:

Le conseil du sage :

Aucun virus dans ce monde n’est plus dangereux que la peur.

COMMENT ÉVITER LA PANDÉMIE ?

«Vous posez la mauvaise question – la bonne question devrait être: COMMENT ÉVITER LA PEUR DE LA MORT PARCE QUE L’ÉPIDÉMIE EST LÀ ?

Il est très facile d’éviter un virus, mais c’est très difficile d’éviter la peur en vous et l’éviter dans le monde. Les gens mourront plus de peur que d’épidémie. Aucun virus dans ce monde n’est plus dangereux que la peur.

L’atmosphère effrayante que vous ressentez dans ces moments est une folie collective. Cela s’est produit des milliers de fois et cela se reproduira. Si vous ne comprenez pas la psychologie humaine et la peur, votre conscience peut être complètement perdue. Vous ne saurez même pas quand vous avez perdu le contrôle. Alors la peur peut vous faire faire n’importe quoi.

Faites attention. Ne regardez pas les nouvelles qui font peur. Arrêtez de parler d’épidémie.

Répéter la même chose encore et encore, c’est de l’autohypnose.

LA PEUR EST UN TYPE D’AUTOHYPNOSE. Elle provoque des changements chimiques dans le corps. Et si vous l’entretenez encore et encore, cela peut provoquer un changement chimique si toxique que ça peut vous tuer.

Pendant une épidémie, l’énergie dans le monde devient irrationnelle. Vous pouvez tomber dans un trou noir à tout moment. La méditation ou plutôt la paix cérébrale, le silence mental peut alors créer une aura protectrice dans laquelle aucune énergie négative ne peut pénétrer. »

~ Osho ~

Et la science lui donne raison : C’est prouvé par de nombreuses études : ceux qui méditent ont un taux d’anticorps nettement supérieur aux autres. Et résistent mieux aux affections hivernales. La méditation diminuerait même de moitié la durée et la sévérité des infections respiratoires aiguës chez les plus de 50 ans. Sans que l’on sache vraiment pourquoi. L’une des explications avancées serait que, en entraînant une diminution de l’activité nerveuse et du rythme respiratoire, elle freinerait la sécrétion d’adrénaline et de cortisol, deux hormones du stress qui « endorment » les cellules immunitaires lorsqu’elles sont produites en trop grande quantité ou de manière prolongée.

A quand le passeport méditation?

https://www.femmeactuelle.fr/sante/medecine-douce/booster-immunite-02881/(page)/2

Le stress réduit en effet nos défenses immunitaires. Des chercheurs viennent de plus de montrer qu’un stress intense et régulier modifiait l’expression des gènes présents dans les globules blancs. Ces cellules modifiées sont alors sujettes à des réactions immunitaires excessives pouvant conduire à une inflammation. Cà vous rappelle quelque chose ?

Comment le stress diminue nos défenses immunitaires :

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/stress-stress-diminue-nos-defenses-immunitaires-50069/

Alors le mieux est peut-être de faire comme ces gens qui expliquent ne pas être au courant de la pandémie… car ils ne regardent pas les infos…

Une «lockdown party» est stoppée par la police: les fêtards expliquent ne pas être au courant de la pandémie… car ils ne regardent pas les infos

… et de faire confiance à notre système immunitaire que l’on peut aussi renforcer par des activités qui nous font du bien, de la marche en forêt, une activité physique régulière, une alimentation saine et de la vitamine d et du zinc par exemple, et surtout par arrêter de regarder des infos anxiogènes…

https://www.lalibre.be/planete/sante/une-immunite-contre-le-coronavirus-d-au-moins-six-mois-grace-a-la-memoire-immunitaire-6005c424d8ad5844d19f06c1?fbclid=IwAR0EoxnR3fHwstUbhESS3HYKF0gN6JQ2_fcZT6m7WYgsPCyVGP0b4bG57c0

Pour en savoir plus :

Echantillons d’experts médecins et scientifiques de renom qui mettent en garde contre les dangers du vaccin à ARN:

De nombreuses zones d’ombres subsistent sur ces vaccins, vous trouverez ici des liens vers des documents, expliqué en toute transparence par des scientifiques et généticiens de premier rang, intègres et spécialistes de pointe, à la carrière et au courage exemplaire, et soudain devenus de méchants complotistes, qu’il faut censurer, démettre de leur poste, voire même poursuivre en justice… A contrario poursuit-on les responsables du scandale du Remdesivir ?

 

Pr Christian Perronne : (médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins (vice-président du groupe European Advisory Group of Experts on Immunisation (ETAGE), qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, Il préside la Commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique)) :

« Les vaccins dont on parle dans les médias ne sont pas de même niveau, certain s’apparentent à de la recherche médicale aux conséquences encore non connues.  On confond vitesse et précipitation et il va falloir beaucoup d’expérience et de recul avant de pouvoir statuer sur l’efficacité et la tolérance.  L’espoir de la population devrait se porter sur les traitements en phase précoce qui ont fait leurs preuves dans le monde. Une question que l’on doit se poser est la perception par la population de l’échange proposé par les autorités entre vaccin et retour à la liberté.»

http://www.francesoir.fr/opinions-societe-sante/vaccin-arnm-lappel-solennel-du-pr-perronne

Dr. Michael Yeadon: (Dr Mike Yeadon has a degree in biochemistry and toxicology and a research-based PhD in respiratory pharmacology. He has spent over 30 years leading new medicines research in some of the world’s largest pharmaceutical companies, leaving Pfizer in 2011 as Vice President & Chief Scientist for Allergy & Respiratory. That was the most senior research position in this field in Pfizer. Since leaving Pfizer, Dr Yeadon has founded his own biotech company, Ziarco, which was sold to the worlds biggest drug company, Novartis, in 2017.)

Former Vice President and Chief Scientist of Pfizer Pharmaceutical has said that there is no need for any vaccines to bring the COVID-19 pandemic to an end. https://www.healthwire.co/covid-pandemic-is-over-no-need-for-vaccines/

“There is absolutely no need for vaccines to extinguish the pandemic. I’ve never heard such nonsense talks about vaccines. You do not vaccinate people who aren’t at risk from a disease. You also don’t set about planning to vaccinate millions of fit and healthy people with a vaccine that hasn’t been extensively tested on human subjects.”

Dr. Wolfgang Wodarg:  Former SPD Member of the German Bundestag and chairman of the Health Committee of PACE (Parliamentary Assembly of the Council of Europe). Wodarg is a medical doctor and epidemiologist, a specialist in lung disease and environmental medicine.

Deux médecins de premier plan, le Britannique Mike Yeadon et l’Allemand Wolfgang Wodarg, ont lancé un appel à la suspension des études sur les vaccins SARS-CoV2. Ils l’ont adressé à l’Agence européenne du médicament et joignent à leur demande une pétition qu’ils appellent les Européens à signer. 

http://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-sars-cov-2-le-dr-wodarg-et-le-dr-yeadon-disent-stop

1er décembre 2020

En collaboration avec l’ancien directeur de recherche de Pfizer Dr. Michael Yeadon, j’ai soumis une demande à l’ EMA, l’Agence européenne du médicament, qui est responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, le 1er décembre 2020 pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin SARS-CoV-2, en particulier l’étude de BioNtech / Pfizer à BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Nous exigeons que les études – pour protéger la vie et la santé des personnes testées – ne se poursuivent que lorsqu’un concept d’étude est disponible, adapté pour répondre aux préoccupations de sécurité considérables exprimées par de plus en plus de scientifiques bien connus contre le vaccin et la conception de l’étude, Prendre en compte.

En tant que pétitionnaires, nous exigeons, d’une part, qu’en raison du manque de précision connu du test PCR dans une étude sérieuse, le séquençage dit de Sanger soit utilisé. C’est le seul moyen de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR différents de qualité très différente, ni le risque de la maladie ni un éventuel bénéfice vaccinal ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire. Pour cette seule raison, de tels tests de vaccins sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.

De plus, nous exigeons qu’il soit préalablement exclu que les risques connus des études précédentes, dont certains proviennent de la nature des virus corona, puissent avoir des effets dangereux. Nos préoccupations portent notamment sur les points suivants:

La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut conduire à une réaction immunitaire excessive, en particulier lorsque les sujets testés sont confrontés au vrai virus « sauvage » après la vaccination. Cette soi-disant amélioration dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir été infectés par de vrais coronavirus. Cette réaction excessive est encore favorisée par les boosters actifs.

Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une infertilité de durée indéfinie chez les femmes vaccinées.

Les vaccins à ARNm BioNTech / Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, voire mortelles, à la vaccination.

La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une évaluation réaliste des effets à long terme. Comme pour les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des effets à long terme ne seraient observés qu’en cas d’approbation d’urgence planifiée alors qu’il est déjà trop tard pour des millions de personnes vaccinées. Les gouvernements prévoient d’exposer des millions de personnes en bonne santé à des risques inacceptables et de les forcer à vacciner en appliquant des restrictions discriminatoires à ceux qui ne sont pas vaccinés.

A ce propos interessant de regarder les « pandemies » precedentes pour lesquels on a du reculs (H1N1…) 

 Effets secondaires du vaccin H1N1 : les indemnisations traînent : https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453

In 2010: Dr Wodarg considers the « pandemic » Swine Flu campaign of the WHO to be « one of the greatest medicine scandals of the Century:

https://healthcare-in-europe.com/en/news/european-parliament-to-investigate-who-pandemic-scandal.html

Alexandra Henrion-Caude (Généticienne, directrice de l’institut de recherche Simplissima). https://www.youtube.com/watch?v=aW1awlojQMY&feature=emb_title

Vaccin ARN à voir absolument. Je vous ai juste sortis le meilleur même si la vidéo complète très longue était très intéressante.. mais déjà censurée !!!

C’est une chercheuse qui bosse sur l’ARN depuis le début il y à 12 ans et qui y croit vraiment… sauf qu’elle ajoute que piquer une population saine va être un carnage..

Alexandra Henrion Caude : Une Fellow à la française : http://www.ipubli.inserm.fr/handle/10608/7152

Dr Velot:

En septembre 2020, en appui à la procédure de recours en annulation du règlement européen 2020/1043 qui modifie la réglementation OGM et permet à tout essai clinique de médicaments OGM destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement, le Dr C. Vélot publiait une note d’expertise sur les risques sanitaires et environnementaux que peuvent présenter les candidats vaccins contre la Covid-19, notamment les vaccins ayant recours aux techniques OGM. L’intérêt de la compilation d’extraits présentée ci-dessous est de synthétiser pour le lecteur pressé cette note du Dr Vélot, généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRRIGEN, le lecteur critique que nous devrions tous être face à cette question cruciale étant invité à aller lire dans son entièreté ce rapport expressément rédigé pour le grand public.

Le Risque de créer de nouveau virus recombinant

« Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au

moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais sous l’effet de la main de l’homme, ce phénomène peut devenir beaucoup plus courant. C’est bien sûr le cas, comme mentionné précédemment, des plantes transgéniques dans lesquelles a été introduit un transgène viral où il suffit alors que ces plantes soient infectées par un seul virus pour que de tels évènements de recombinaison aient lieu. Mais c’est aussi le risque que l’on fait courir chez les humains dès lors que l’on génère des vaccins délivrant dans les cellules des patients de l’ARN ou de l’ADN viral. Les vaccins anti-Covid-19 de ce type faisant l’objet d’essais cliniques sont administrés en intramusculaire ou en intradermique. Les cellules cibles sont donc des cellules musculaires, des cellules de la peau, des fibroblastes (cellules du tissu conjonctif, c’est-à-dire du tissu de soutien qui enveloppe les organes, les tissus, et notamment les faisceaux musculaires) mais aussi des cellules du sang circulant et des cellules endothéliales (qui tapissent les vaisseaux sanguins), autant de cellules qui peuvent être la cible d’infections par d’autres virus. Par exemple des entérovirus (virus nus à ARN) ont été détectés dans des cellules musculaires [19], le virus Zika infecte les cellules de la peau [20], le Chikungunya a pour cible les cellules musculaires satellites (cellules souches du tissu musculaire) [21], mais aussi les cellules endothéliales et les fibroblastes [22]. Et ce ne

sont là sans doute que quelques exemples…

Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID-19 vaccines worsening clinical disease

Timothy Cardozo 1Ronald Veazey 2

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33113270/

Le vaccin génique à ARN messager présente bel et bien des risques énormes.

Dans la cacophonie en cours, il est bien entendu impossible au citoyennes et citoyens d’évaluer ces risques. Les autorités scientifiques et médicales (largement captives d’un environnement de corruption systémique) se veulent rassurantes en minimisant les risques graves qui pourraient advenir tant pour les personnes que pour la collectivité.  Cela nous semble problématique eu égard à la réalité des risques suivants :

  1. Un risque connu (que rien ne peut sérieusement exclure a priori sans un recul temporel suffisant) est celui que le vaccin génique, au contraire, fasse exploser le nombre de formes graves de Covid. Voici ce que soulignent Cardozo et Veazy dans The International Journal of Clinical Practice au sujet du « consentement éclairé » des patients :
  2. « Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement). Ce risque est suffisamment occulté dans les protocoles d’essais cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu’il soit peu probable que les patients comprennent bien ce risque, ce qui empêche les sujets de donner un consentement véritablement éclairé dans le cadre de ces essais

Conclusions tirées de l’étude et implications cliniques : Le risque spécifique et significatif de COVID-19 d’EAD aurait dû être et devrait être divulgué de manière visible et indépendante aux sujets de recherche actuellement en cours d’essais de vaccins, ainsi qu’à ceux qui sont recrutés pour les essais et aux futurs patients après l’approbation du vaccin, afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé. »

La vaccination risque très clairement de provoquer chez certains sujets une sur-réaction immunitaire conduisant à cette fameuse « tempête de cytokines » aux effets dévastateurs. C’est entre autres la position de la Dresse Dolorès Cahill, experte auprès de nombreuses agences de santé et généticienne moléculaire à l’Université de Dublin, qui a prédit de manière très controversée une flambée de mortalité et d’hospitalisations suivant de quelques semaines ou de quelques mois la vaccination. Il se pourrait (mais là aussi il convient d’être prudent) que nous soyons en train d’observer un phénomène de cet ordre dans les pays qui font la « course en tête » avec le vaccin génique.

Prof. Didier Raoult :  

« Les décisions qui ont été prises pour lutter contre cette maladie sont d’un autre siècle. Dire aux gens ‘ne vous soignez pas, restez à la maison’, ce n’est même pas le Moyen Âge, même Hippocrate ne faisait pas ça. La France cherche une baguette magique, ce monde est fou, alors que ce qui compte c’est de soigner les malades », a-t-il jugé. 

https://www.7sur7.be/sante/didier-raoult-sceptique-sur-les-vaccins-pour-l-instant-c-est-de-la-science-fiction-de-la-publicite~a283f85d/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F

Prof. Jean-François Toussaint : est l’un des 35 co-signataires d’un article paru dans Le Parisien du 10 septembre 2020, critiquant la communication « anxiogène » du gouvernement sur la Covid-19, et dénonçant notamment le recours au confinement général et le port du masque obligatoire en milieux ouverts14. Il est l’un des 250 signataires d’une autre tribune sur le même thème publiée dans Marianne le 8 octobre

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2020.604339/full

Claire-Anne Siegrist: vaccinologue et cheffe du centre de vaccinologie des Hôpitaux universitaires de Genève:

La Suisse mise sur la prudence face aux vaccins contre le Covid.

«Il est normal que les gens se posent des questions sur les vaccins»

Plusieurs laboratoires pharmaceutiques ont annoncé que leur vaccin contre le Covid-19 paraissait efficace. Mais pour combien de temps, et avec quels risques? Pour le savoir, un peu de recul supplémentaire sera précieux, estime la cheffe du centre de vaccinologie des Hôpitaux universitaires de Genève

https://www.letemps.ch/sciences/claireanne-siegrist-vaccinologue-normal-gens-se-posent-questions-vaccins

Ces vaccins auront-ils un impact sur la transmission du virus?

C’est une autre inconnue. On sait que ces vaccins préviennent efficacement les symptômes du Covid-19, même les formes graves. Mais les personnes vaccinées pourraient-elles tout de même être infectées et donc transmettre la maladie à d’autres? Rien ne permet de le dire à l’heure actuelle. Contrairement à d’autres vaccins, on ne pourra pas compter sur le fait que les autres seront vaccinés pour être soi-même protégé. Cela signifie aussi que, même vacciné, on devra continuer à porter le masque, en tout cas dans un premier temps, jusqu’à ce qu’on dispose d’informations plus détaillées sur la manière dont ces vaccins agissent sur la transmission du virus.

Peut-on garantir que ces vaccins sont sans risque?

Pour ce qui est des effets à court terme, oui. Les participants aux essais ont rapporté des réactions inflammatoires classiques après une vaccination: douleur au point d’injection, plus rarement des courbatures ou de la fièvre. Ces symptômes sont liés à l’activation du système immunitaire et elles sont attendues. Ce qu’on ne sait pas encore, c’est si ces vaccins pourraient déclencher des maladies auto-immunes tels que le syndrome de Guillain-Barré, ce qui peut se produire dans de très rares cas suite à une vaccination. 

Dr. Louis Fouché : est à l’origine du collectif « Réinfo Covid » dont le site internet a été créé au mois d’octobre 2020. Les 316 membres du collectif, (médecins, chercheurs, soignants, citoyens…) se disent « choqués » par l’information « tronquée et basée sur le sensationnalisme volontiers culpabilisante » diffusée par « les médias ».

Ils dénoncent « un discours officiel simpliste et infantilisant » qui ne laisserait que deux choix aux citoyens : être pour « et se ranger dans le camp des bons citoyens dociles » ou être contre « et se voir pointés du doigt, considérés au mieux comme des égoïstes irresponsables, au pire comme de ‘dangereux complotistes' ».
Le collectif met en cause « plusieurs mesures récemment prises à l’échelle de la société sous couvert d’une prétendue sécurité collective et d’un altruisme caricatural » : obligation du port du masque par les enfants à l’école, obligation du port du masque en extérieur et mesures de reconfinement. Il demande « le rétablissement d’une prévention fondée sur la connaissance et l’expérience de longue date des épidémies en médecine » et « la réouverture sans délai d’un véritable et sain débat démocratique, basé sur la transparence »

Au sujet des nouveaux vaccins à ARN messager, Louis Fouché émet des réserves dans un article publié sur le site Réinfo Covid« Des journalistes clament à qui veut l’entendre que l’ARNm ne peut pas s’intégrer dans le génome humain. Même si la probabilité apparaît comme faible, elle ne peut pas être exclue en l’état actuel des connaissances« , écrit-il. 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/covid-19-5-choses-savoir-docteur-louis-fouche-nouvelle-star-anti-masques-rassuristes-1903370.html

Laurent Toubiana : est chercheur en épidémiologie à l’INSERM depuis près de 30 ans. Il a notamment beaucoup travaillé sur les maladies infectieuses. Dans ce long entretien, il explique en détail les pièges de l’analyse statistique (à quels indicateurs se fier ?), les erreurs des modélisateurs-catastrophistes et les mécanismes de l’épidémie (notamment l’immunité collective).

https://fr.sputniknews.com/sante/202011181044791256-un-vaccin-pour-sortir-de-la-crise-du-covid-19–une-fausse-bonne-idee-selon-laurent-toubiana/

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/281020/epidemiologie-du-covid-19-entretien-avec-laurent-toubiana-inserm

« Les formes un peu plus sévères ne représentent que 0,3% de la population.»

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana

Les effets secondaires de certaines substances prises isolément peuvent déjà être graves, mais lorsqu’elles sont en interaction avec d’autres substances, cela peut devenir catastrophique. Je me méfie beaucoup des substances concentrées ou des substances qui peuvent agir sur des mécanismes complexes comme le système immunitaire du corps humain, encore très mal compris par les immunologistes eux-mêmes! La démarche scientifique exige tout de même une certaine forme de rigueur: quand on touche à la santé de millions de personnes, la moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures. Les nombreux revirements du ministre de la Santé actuel ne m’inspirent guère confiance à ce sujet.»

Sputnik: Si le vaccin n’est pas la solution à la sortie de la crise sanitaire, y aurait-il une alternative?

Laurent Toubiana: «Il faut d’abord essayer de comprendre ce qu’est cette maladie. On ne peut pas faire croire aux gens que cette maladie est “grave” alors qu’elle ne touche en réalité qu’une infime minorité de personnes. Le vaccin est censé permettre d’éviter une “hécatombe”. Or, jusqu’à présent, il n’y a eu aucune hécatombe liée à cette maladie.

« Les formes un peu plus sévères ne représentent que 0,3% de la population.»

En termes d’épidémiologie, c’est ce qu’il faut essayer de comprendre. Je rappelle que 80% des gens ne sont pas ou très peu sensibles à cette maladie. Parmi les gens de moins de 65 ans, une très faible part d’entre eux est touchée par le virus. Il faudrait donc laisser la population s’auto-immuniser, ce qui est déjà presque le cas: une grande partie de la population a déjà été exposée au Covid-19 sans être malade ou en contractant des formes tellement faibles qu’elles n’ont même pas eu besoin de voir un médecin. Chez beaucoup de patients, cela a même été moins fort qu’une grippe. La minorité de personnes qui ont contracté des formes un peu plus sévères ne représente que 0,3% de la population.»

Sputnik: Comment expliquer dans ce cas l’engorgement des hôpitaux et des services de réanimation?

Laurent Toubiana: «Ce phénomène est une conséquence directe de la gestion des hôpitaux en France. Cela est dû au faible nombre de places pour les malades du Covid-19. Je rappelle qu’en France, il y a 20 millions de cas d’hospitalisations par an. Sur la période de l’épidémie actuelle, il y a eu environ 200.000 hospitalisations pour le virus en tout et pour tout. Il faut donc faire la part des choses: c’est normal que les hôpitaux soient à flux tendus et saturés. Un afflux anormal rend l’explosion logique.»

Sputnik: Que préconisez-vous pour stopper l’épidémie?

Laurent Toubiana: «Il n’y a que l’immunité collective qui peut fonctionner. Pour arrêter une épidémie virale, c’est simple: on attend que ça passe. Une fois que l’épidémie a démarré, rien ne l’arrête. D’une certaine manière, nous avons eu de la chance, car le virus nous a montré qu’il n’était dangereux que pour une toute petite partie de la population. La partie ultra majoritaire des gens qui ne sont pas “à risque” doit donc continuer à vivre normalement.»

Dr Pascal Sacre

Un réanimateur sacrifié: témoignage du Dr Pascal Sacré

Pas d’autre choix que le confinement?

Un médecin généraliste sur trois ne veut pas se faire vacciner

https://www.7sur7.be/sante/un-medecin-generaliste-sur-trois-ne-veut-pas-se-faire-vacciner~a6ec205c/

Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

COVID-19 vaccine: UK regulators warn people with history of ‘significant’ allergic reactions not to have Pfizer/BioNTech jab

UK regulators have issued a warning that people who have a history of « significant » allergic reactions should not currently receive the Pfizer/BioNTech vaccine.

It comes after two NHS staff members who had the jab yesterday experienced allergic reactions.

https://news.sky.com/story/covid-19-vaccine-uk-regulators-warn-people-with-history-of-significant-allergic-reactions-not-to-have-pfizer-biontech-jab-12155916

VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ?

https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html

COVID-19

NIH ‘Very Concerned’ About Serious Side Effect in Coronavirus Vaccine Trial

COVID, Prévention et Traitements :

Faire plus avec la prévention et traitement prouvant leur efficacité :

Dr Thierry Hertoghe (médecin généraliste)
Et le COVID-19 Prevention Group (un groupe de 96 signataires, composé de 55 médecins multidisciplinaires travaillant en première ligne et de terrain, orientés vers la médecine préventive et soutenus par 41 professionnels de la santé)

Autre association en France :

Qu’est-ce qu’on attend pour faire de la prévention? Il est grand temps qu’on s’y intéresse en effet, l’ivermectine qui montre une très grande efficacite, chloroquine, zinc, vitamine d… Des effets très prometteurs, à utiliser des les premiers symptômes, ou même en prévention surtout pour les personnes à risques…

Covid-19 : l’ivermectine

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-l-ivermectine-une-piste-a-suivre-1719386

https://www.levif.be/actualite/belgique/debut-de-covid-19-attendre-ou-agir-carte-blanche/article-opinion-1377601.html?fbclid=IwAR3zR7aSyteQCOd5YbnIy6ZYCX7rQrOcI8gswOjh5teWFxKACDrliC9YF4Y

Mal-traités: Le documentaire passant en revues les traitements comme l’hydochloroquine, la vitamine d, le zinc… et leur grande efficacité pour traiter la covid-19. Vitamine d et zinc ne coutent rien, peuvent être pris préventivement sont bons pour la santé et l’immunité et agissent de multiples façons contre la Covid… On en parle pourtant si peu malgré les études scientifiques qui s’amoncellent…

A lire aussi :

Tous les jours Richard Boutry, ancien présenteur sur France Tv et TV5 Monde, vous propose une chronique d‘une minute sur des faits d‘actualité ou des sujets plus intemporels, qu‘il traite avec une patte à la fois journalistique et personelle.

Home -LMDR-

Pfizer set a record for the largest health care fraud settlement and the largest criminal fine of any kind with $2.3 billion in 2009.

https://www.drugwatch.com/manufacturers/pfizer/  Allez-voir àLawsuits and Settlements.

Covid: le laboratoire Gilead soupçonné d’avoir pré-vendu pour un milliard d’euros un médicament qu’il savait inefficace

Marc Van Ranst : Souvenir, souvenir…. Une piqûre de rappel pour savoir à qui on a affaire dans cette histoire…

Voilà une vidéo du virologue qui date de février 2020.

Si j’étais médecin à Wuhan, je prendrais de l’hydro-chloroquine’, nous dit van raest en Février 2020… Comment un homme accuse de corruption et conflits d’interets, et qui n’a vraiment pas fait l’unanimité dans sa gestion du H1N1, et c’est le moins qu’on puisse dire, revient encore et toujours…

Ce même virologue qui (sans doute protégé par la molécule ionophore du Zinc qu’il connaît depuis 2004), ne craint pas de se balader sans masque dans le bus:

https://www.lesoir.be/302131/article/2020-05-20/marc-van-ranst-sexplique-apres-la-publication-dune-photo-polemique?fbclid=IwAR2KMNfGoIW7sqAtiEH7OuXMlexPom9jI2fCF6tXzXOeXh6UsEq0xAlHMes

Ce virologue dont on demandait déjà la démission en 2009, lorsqu’il voulait vacciner des femmes enceintes avec un vaccin que d’autres pays trouvaient dangereux : https://www.lesoir.be/art/grippe-a-h1n1-la-campagne-de-vaccination-vire-au_t-20091029-00QM0E.html?fbclid=IwAR0EoxnR3fHwstUbhESS3HYKF0gN6JQ2_fcZT6m7WYgsPCyVGP0b4bG57c0

Ce virologue qui comme d’autres, avait déjà en 2010 des liens tendancieux avec les multinationales pharmaceutiques :

Ce virologue encore qui a voulu l’obligation de porter le masque: https://www.lesoir.be/312604/article/2020-07-10/marc-van-ranst-propos-des-masques-lobligation-est-une-etape-que-lon-franchit?fbclid=IwAR0DmQWFJ1OEBggk12XVqPcis8k7tKKBsg-6GblMye9fsLlsmSOKUSlchoY

, qui dit que la seule chance de se débarrasser du virus est de développer un vaccin https://fr.metrotime.be/2020/03/25/actualite/le-vaccin-seule-solution-durable-contre-le-nouveau-coronavirus/?fbclid=IwAR399_mbcDZCCVLJT2h0YNTu7u58uUCkmW2Pe5GruAiSa5alpCNpJjlsHjc

et qui estime que les mesures de distanciation sociale seront de rigueur jusqu’à l’arrivée d’un vaccin

https://www.lesoir.be/305797/article/2020-06-08/marc-van-ranst-je-ne-pense-pas-que-la-distance-sociale-disparaitra-avant?fbclid=IwAR0ECZ275vNagxGZ-_usQU4ZgE4V5oEOsWvyfgbE4ZprntwuFApeW_AVLdc

9 commentaires sur « COVID-19: Vaccins ARN, Immunité, Traitement et Démocratie. »

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